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Généalogie Forgeur
Chapitre 2 : Johan PAKEAU le Marichal
Nous avons vu, qu'en 1530, il était et ce depuis 1523, parmi les héritiers de Pakéa le Marischal, sous le nom de Johan Pakeaux, sans indication de sa profession. Il en est de même en 1530, lorsqu'il paie un «muid de spelte » de Cens au prieuré d'Aywaille, avec son beau-frère dénommé Arnot (7) .
Mais un peu plus loin, dans le même registre, même folio, il est dénommé Pakéa le Marischal, alors qu'il paie toujours au prieuré «un stier d'avoine ».
Il avait donc dû succéder à cette date, à son père à la forge d'Awan.
Edgard lui attribue pour épouse, une fille de Poncelet le Forgeur.
Ce dernier était un habitant d'Awan, qui y possédait sa maison et des biens. Il détenait aussi à Aywaille un cortil dénommé le Cortil Saulcys, c'est-à-dire un cortil planté de saules, situé probablement le long de l'Amblève. Ce cortil va devenir notre fil d'Ariane pour quatre générations.
Poncelet le Forgeur est mentionné pour la première fois en 1523, date où il paie à titre de Cens au prieuré d'Aywaille un muid d'épeautre pour un demi-journal de terre (8) . La même année, il paie «un capon pour le cortil a Saulcis»; et une autre main, donc postérieure, a ajouté:«Johan Paqueau payé »(9) . En 1528, «Ponselet le Forgeur et Jehan Pakéa », paient un muid d'épeautre pour le cortil sis derrière la maison Ponselet et deux tiers d'épeautre, pour le jardin sis derrière le cortil Robier (10).
En 1529, Poncelet le Forgeur paie toujours pour le cortil Saulcys, mais, il devait être décédé avant 1538, date, où Johan Pakeau le Corbusier paie (11). J'ignore quand mourut Johan Pakéa le Marischal, mais Edgard pense que Johan Pakean le corbusier, qui suit devait être son fils.
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