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Fiches individuelles |
OSTYNS (ou Hostyns) Catherine (Sosa 2177) |
Décès : | 19 décembre 1659 à Meerbeek (3078), BELGIQUE | ||
Union 1 : | de COEN Adrien(o 1575 … † 1650) | ||
Enfant 1 : | de COEN Adrien | ||
Enfant 2 : | de COEN Jean | ||
Enfant 3 : | de COEN Thomas | ||
Enfant 4 : | de COEN Catherine | ||
Enfant 5 : | de COEN Marc | ||
Enfant 6 : | de COEN Berlinde | ||
Enfant 7 : | de COEN Cornelie | ||
Enfant 8 : | de COEN Arnoul(o 1609 … † 1654) | ||
Enfant 9 : | de COEN Anne(o 1617 … † 1642) |
PACCO Colette |
Union 1 : | BOSTEELS Jacques | ||
Enfant 1 : | BOSTEELS Patrick | ||
Enfant 2 : | BOSTEELS Kathleen | ||
Enfant 3 : | BOSTEELS Muriel |
PACQUÉA Jean |
Monsieur | |||
Profession : | Echevin d'Aywaille | ||
Père : | PAKEAU LE COBESIR Johan | ||
Mère : | le COMPTE Catherine | ||
Enfants de mère inconnue : | |||
Enfant 1 : | PACQUÉA N... | ||
Notes : | "Il fut échevin d'Aywaille. Il est cité comme tel, les 2 décembre 1605, 15 mars 1611, 13 janvier 1610, en 1612 et enfin jusqu'au 22 novembre 1622, date, où il résigne sa charge d'échevin d'Aywaille, puce qu'il a fixé sa résidence dans la Cité de Liège. Le 12 juin 1610, il est Maieur d'Aywaille. Il vivait encore le 7 février 1623, date où « Jean Pacquéa résidant à Liège » achète une rente de dix rixdallers, à André Barthélemy dit Pouillon, sise sur un journal de terre « alle grosse Pierre en la Bouvière à Aywaille » J'ignore le nom de son épouse; mais il eut une fille, N..., qui fut la femme de Giles CABER, chirurgien, et qui devint échevin d'Aywaille, suite à la résignation de son beau-père Jean Pacquéa, du 22 novembre 1622." Source : Généalogie de la famille Forgeur par le baron Edgard FORGEUR |
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PACQUÉA N... |
Père : | PACQUÉA Jean | ||
Union 1 : | CABER Gilles |
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PAKEAU LE COBESIR Johan (Sosa 40960) |
Monsieur | |||
Profession : | Tanneur | ||
Père : | PAKEAU LE MARISCHAL Johan | ||
Mère : | PONCELET le forgeur x | ||
Union 1 : | le COMPTE Catherine | ||
Enfant 1 : | le FORGEUR Pakéa | ||
Enfant 2 : | PACQUÉA Jean | ||
Enfant 3 : | PASKEAU d'AYWAILLE Jean | ||
Notes : | "En 1530, il est dénommé « le joene Johan Pakéau le Corbesir », année où il doit dix deniers de Cens au prieuré, pour un pré situé devant Amblève, pré qui fut au petit Collet de Raborive, et pour un héritage, appelé « Sacky Godin », à Raborive, qui fut aussi au susdit Collet. En 1538, « Johan Pakeaux le Corbusir », tient le cortil Saulcys, car à cette date, il paie un capon de Cens au prieuré pour, dit le registre, « le Saulchys qui fut à Poncelet le Fourgeur» . Toujours la même année, « Johan Pakeaux le Courbesir », et Jenot, doivent ensemble, toujours à titre de Cens, un muid d'épeautre, pour le cortil derrière la maison Jenot Le corbusier veut dire tanneur il est donc certain qu'il a dû exercer son industrie, le long de l'Amblève, où il, avait des biens, et où devait se trouver le cortil Saulcys. Après 1538, je ne trouve plus trace de notre corbusier. Est-il décédé jeune? A-t-il changé de profession? je l'ignore. Il est peut-être le même que celui que plus tard, le registre de 1580, f° 12, des Cens et Rentes du prieuré d'Aywaille, appelle « le petit Pasqueaux de Rivage, lorsque sa veuve, dénommée Cathon, paie « douze stiers de spelte », au prieuré. Cette dénommée Cathon, doit être Catherine le Conte, car la même année 1580, registre 12, f°40, elle paie pour les héritiers de Pasqueaux le Marischal, pour la quatrième partie des héritages, provenant de Jean Damid. Elle payait donc pour ses enfants. J'ignore qui notre corbusier a épousé; s'il est le même que le petit Pasqueaux de Rivage. Il a épousé Cathon, comme nous le verrons plus loin. Je lui attribue trois fils" Source : Généalogie de la famille Forgeur par le baron Edgard FORGEUR |
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PAKEAU LE MARISCHAL Johan (Sosa 81920) |
Monsieur | |||
Profession : | Forgeron | ||
Père : | le MARISCHAL Pakéa | ||
Mère : | DAMYDDE \ | ||
Union 1 : | PONCELET le forgeur x | ||
Enfant 1 : | PAKEAU LE COBESIR Johan | ||
Notes : | "JOHAN PAKEAU LE MARISCHAL. Nous avons vu, qu'en 1530, il était et ce depuis 1523, parmi les héritiers de Pakéa le Marîschal, sous le nom de Johan Pakeaux, sans indication de sa profession. Il en est de même en 1530, lorsqu'il paie un «muid de spelte » de Cens au prieuré d'Aywaille, avec son beau-frère dénommé Arnot . Mais un peu plus loin, dans le même registre, même folio, il est dénommé Pakéa le Marischal, alors qu'il paie toujours au prieuré «un stier d'avoine ». Il avait donc dû succéder à cette date, à son père à la forge d'Awan. Je lui attribue pour épouse, ume fille de Poncelet le Forgeur. Ce dernier était un habitant d'Awan, qui y possédait sa maison et des biens. Il détenait aussi à Aywaille un cortil dénommé le Cortil Saulcys, c'est-à-dire un cortil planté de saules, situé probablement le long de l'Amblève. Ce cortil va devenir notre fil d'Ariane pour quatre générations. Poncelet le Forgeur est mentionné pour la première fois en 1523, date où il paie à titre de Cens au prieuré d'Aywaille un muid d'épeautre pour un demi-journal de terre . La même année, il paie «un capon pour le cortil a Saulcis»; et une autre main, donc postérieure, a ajouté:«Johan Paqueau payé » . En 1528, «Ponselet le Forgeur et Jehan Pakéa », paient un muid d'épeautre pour le cortil sis derrière la maison Ponselet et deux tiers d'épeautre, pour le jardin sis derrière le cortil Robier . En 1529, Poncelet le Forgeur paie toujours pour le cortil Saulcys, mais, il devait être décédé avant 1538, date, où Johan Pakeau le Corbusier paie . J'ignore quand mourut Johan Pakéa le Marischal, mais je pense que Johan Pakean le corbusier, qui suit devait être son fils." Source : Généalogie de la famille Forgeur par le baron Edgard FORGEUR |
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PAPEIANS de MORCHOVEN Marguerite M.-Ge.-Adolphine Augusta |
Madame | |||
Union 1 : | FRAEYS de VEUBEKE Paul Benoît Victor L.-M.-J.(o 1876 … † 1943) | ||
Enfant 1 : | FRAEYS de VEUBEKE Jacqueline | ||
Enfant 2 : | FRAEYS de VEUBEKE Marie-Louise | ||
Enfant 3 : | FRAEYS de VEUBEKE Godelive | ||
Enfant 4 : | FRAEYS de VEUBEKE Jacques-Jehan |
PAROLINI Elisa |
Madame | |||
Union 1 : | BALL John(o 1818 … † 1889) | ||
Enfant 1 : | BALL Nicholas-Albert(o 1858 … † 1939) | ||
Enfant 2 : | BALL Albert(o 1861 … † 1930) |
PASKEAU d'AYWAILLE Jean |
Monsieur | |||
Père : | PAKEAU LE COBESIR Johan | ||
Mère : | le COMPTE Catherine | ||
Enfants de mère inconnue : | |||
Enfant 1 : | PASKEAU d'AYWAILLE Jeanne | ||
Notes : | "Il est cité en 1570, comme Homme de fief, avec Pakéa le Forgeur. Il doit en 1580, « un stiers spelte » au prieuré, assensés sur un journal de jardin sis à Rivage, joignant à « Genot des Gottes », et que doit après lui le mayeur « de Lensez ». Il doit aussi « un demi muid de spelte » assensé sur un pré gisant « desseur le Marteau de Dieupart, et appelé le pré Quélin Sawaige », et pour lequel paiera après lui « Lorens Jean Pasqueaux. Il habitait à Aywaille, une maison avec cour et assise, et qui fut avant lui habitée par Colienne de Neufforge, et avant Colienne par Grand Jehan. Il paie également le Cens en 1580 pour « l'assize » qui fut à Colette Henra, à cul des près, de Raborive. Après lui c'est le majeur « de Lensés » qui paie. J'ignore le nom de sa femme; mais il eut une fille, prénommée Jeanne, qui épousa en 1580, Léonard de Sprimontmajeur de Lincé, fils de Louis de Sprimont, échevin de ce lieu en 1502." Source : Généalogie de la famille Forgeur par le baron Edgard FORGEUR |
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PASKEAU d'AYWAILLE Jeanne |
Madame | |||
Père : | PASKEAU d'AYWAILLE Jean | ||
Union 1 : | de SPRIMONT Léonard | ||
Notes : | "Etant veuf, Léonard de Sprimont se remaria avec Jenne, fille de Philippe de Soheit. Il avait eu du premier lit, Jenne et Linette. Linette resta célibataire et Jenne épousa Martin de Playe (11), et mourut en 1603." Source : Généalogie de la famille Forgeur par le baron Edgard FORGEUR |
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